Il serait plus juste de parler de tissu cérébral fonctionnel plutôt que d'un « cerveau », mais ce minuscule labyrinthe de polymère n'en demeure pas moins un bouleversement pour la recherche biomédicale. Grâce à cette avancée, nous pourrions, à terme, mettre fin à l'expérimentation animale et créer de véritables modèles personnalisés des maladies affectant le cerveau : des tissus reproduisant l?activité neuronale propre à un individu, et offrant un terrain d?essai bien plus fidèle pour les traitements ciblés.
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