Le chatbot de la compagnie ferroviaire a laissé ses portes numériques grandes ouvertes aux pirates en herbe. Plutôt que de saluer la vigilance des experts qui ont signalé la bévue, Eurostar a préféré jouer la carte de l'indignation en les accusant de chantage.
Pour lire l'article dans son intégralité cliquez-ici.
